Résumé de cours SDGN – Classe de 1ère STMG

Dans une ville dynamique, Scarlett, une entrepreneuse, souhaite comprendre comment définir les différents types d’organisations pour mieux orienter son projet. Elle se rend à une conférence où plusieurs experts discutent des types d’organisations.

• Les trois types d’organisations sont : les entreprises (but lucratif), les organisations publiques (but d’intérêt général, financées par l’État), et les organisations de la société civile (but social, culturel ou humanitaire). Chacune a une gouvernance et des règles juridiques spécifiques, et utilise des dispositifs de contrôle pour garantir la transparence et l’efficacité.

• Les trois types d’organisations sont : les entreprises (but non lucratif), les organisations privées (financées par l’État), et les organisations de loisirs (but récréatif uniquement).

• Les trois types d’organisations sont : les entreprises (but humanitaire), les organisations publiques (but lucratif), et les organisations de la société civile (but commercial).

• Les trois types d’organisations sont : les entreprises (but artistique), les organisations publiques (but sportif), et les organisations de la société civile (but politique uniquement).

Dans une entreprise dynamique, Aiden, un nouvel employé, cherche à comprendre comment il peut devenir un acteur clé au sein de l'organisation. Il se demande quelles compétences et comportements il doit adopter pour interagir efficacement avec ses collègues et contribuer au succès de l'équipe.

• Aiden devient acteur dans l'organisation par sa capacité à interagir, sa personnalité, ses émotions, sa communication interpersonnelle, son appartenance à des groupes sociaux, sa gestion de l’identité numérique, et par l’adoption de comportements proactifs, d’écoute active, d’empathie et de coopération.

• Aiden devient acteur dans l'organisation uniquement en respectant les règles sans jamais interagir avec les autres membres.

• Aiden devient acteur dans l'organisation seulement en occupant un poste de direction.

• Aiden devient acteur dans l'organisation en évitant toute forme de communication et en restant isolé.

Dans une entreprise de services, comment peut-on concilier la gestion des ressources humaines et le coût du travail ?

• Il faut mobiliser les compétences des salariés tout en maîtrisant les coûts, en utilisant des approches basées sur la qualification et les compétences, en équilibrant salaire, primes, avantages et conditions de travail, et en s’appuyant sur des indicateurs RH pour optimiser la performance et le climat social.

• En augmentant systématiquement les salaires sans tenir compte des performances.

• En réduisant uniquement les effectifs pour diminuer les coûts.

• En supprimant tous les avantages sociaux pour maximiser la rentabilité.

En quoi les technologies transforment-elles l’information en ressource ?

• Les technologies transforment l’information en ressource en permettant à Isla de collecter, trier et analyser les données générées par les individus, les entreprises ou les administrations. Ces informations deviennent alors des informations utiles à la prise de décision et prennent une valeur stratégique pour orienter les actions des organisations. Le système d’information (SI) organise les flux d’information, facilite la coordination et la communication, et peut être connecté à des sources externes. L’intégration des technologies numériques améliore la capacité à réagir, anticiper et innover, et donne un avantage concurrentiel en transformant l’information brute en ressource essentielle pour l’efficacité organisationnelle.

• Les technologies transforment l’information en ressource uniquement en augmentant la quantité de données stockées, sans impact sur la prise de décision ou la stratégie des organisations.

• Les technologies rendent l’information inutile car elles la rendent trop complexe à analyser pour les organisations.

• Les technologies transforment l’information en ressource en supprimant la communication entre les différents acteurs d’une organisation.

Dans une entreprise de technologie, comment le partage de l’information entre les équipes de développement et de marketing contribue-t-il à l’intelligence collective ?

• Le partage de l’information renforce la collaboration entre les membres d’une organisation grâce aux outils numériques. Il permet d’échanger plus rapidement et efficacement, favorisant la coordination et la cohésion des équipes. Cette circulation fluide de l’information développe l’intelligence collective, enrichit les projets, accélère la prise de décision et permet une résolution de problèmes plus créative. Il est important de sécuriser ce partage par des règles d’accès et une culture de la confiance.

• Le partage de l’information ralentit la prise de décision et limite la créativité des équipes.

• Le partage de l’information empêche la coordination entre les membres d’une organisation et crée des conflits.

• Le partage de l’information n’a aucun impact sur l’intelligence collective et ne modifie pas la collaboration.

Dans une entreprise de technologie, Ava, la directrice des opérations, se demande si l'adoption de nouveaux outils numériques va créer de la souplesse ou de la rigidité organisationnelle. Elle a remarqué que certains employés s'adaptent facilement aux changements, tandis que d'autres semblent avoir du mal à suivre. Elle veut comprendre les implications de cette transition.

• Le numérique crée de la souplesse organisationnelle en automatisant les tâches, en adaptant les processus et en facilitant la coordination. Cependant, il peut aussi générer des rigidités, comme la nécessité de formations longues, des coûts élevés ou une dépendance technologique. Un bon équilibre entre souplesse et sécurité, ainsi qu’un changement organisationnel maîtrisé, permet d’optimiser les avantages du numérique sans en subir les contraintes.

• Le numérique ne crée que de la rigidité organisationnelle en imposant des processus stricts et en limitant l’autonomie des employés.

• Le numérique élimine totalement la nécessité de former les employés et réduit tous les coûts organisationnels.

• Le numérique n’a aucun impact sur la souplesse ou la rigidité organisationnelle, il ne modifie que les outils utilisés.

Dans une entreprise de technologie, chaque membre de l'équipe, de Mia la développeuse à Ava la chef de projet, contribue à la création de valeur. Peut-on mesurer la contribution de chaque acteur à cette création de valeur ?

• Oui, en utilisant des indicateurs de performance spécifiques à chaque acteur.

• Non, il est impossible de mesurer la contribution individuelle.

• Oui, mais uniquement pour les grandes entreprises.

• Non, car la création de valeur est toujours collective.

Dans une entreprise de technologie, Zoe, la directrice des opérations, se demande si la création de valeur à travers l'innovation et l'amélioration des produits conduit toujours à une performance globale de l'entreprise. Elle organise une réunion pour discuter de cette question avec son équipe.

• Oui, toujours

• Non, pas nécessairement

• Uniquement dans les grandes entreprises

• Seulement à court terme

Dans une entreprise, Henry, le directeur, se demande si la gestion de l’organisation doit-elle prendre en compte le temps pour améliorer l’efficacité des équipes.

• Oui

• Non

Dans une entreprise, Scarlett souhaite améliorer la performance de son équipe. Elle se demande si cette amélioration est sans risque.

• Oui, elle est sans risque

• Non, elle comporte des risques

• Elle est toujours bénéfique

• Elle ne change rien