La consommation : quels choix pour les ménages ?

Les revenus primaires des ménages sont :

• les retraites et les indemnités chômage.

• les prestations sociales

• les revenus du travail et du patrimoine

Les revenus de la propriété correspondent :

• aux revenus tirés de la location de biens.

• aux dividendes reçus par les actionnaires des entreprises.

• aux intérêts des placements de l’épargne.

Le revenu disponible des ménages

• correspond à ce qui reste à la fin du mois une fois toutes les charges payées.

• prend en compte les revenus des prestations sociales.

• dépend des besoins des ménages.

Les prélèvements obligatoires correspondent

• aux cotisations sociales payées par les salariés et les entreprises.

• aux impôts et taxes payés par tous les agents économiques.

• aux impôts et taxes payés uniquement par les ménages.

Pourquoi certaines dépenses mensuelles des ménages sont dites « pré-engagées » ?

• Parce qu’elles correspondent aux achats faits à crédit.

• Parce qu’elles représentent plus de la moitié du budget des ménages.

• Parce qu’elles ont un caractère obligatoire pour les ménages.

Les ménages calculent leur reste à vivre

• en soustrayant de leurs revenus leurs charges fixes mensuelles.

• en se basant sur le solde de leur compte bancaire.

• en fonction de l’épargne dont ils disposent à la fin du mois.

Le poids des dépenses pré-engagées

• est plus élevé pour les ménages à revenus modestes

• est plus important pour les ménages dont les revenus sont les plus élevés

• est le même pour tous les ménages.

Quel est le poste de dépenses le plus important pour la plupart des ménages ?

• Les loisirs

• La santé

• Le logement

quoi servent les coefficients budgétaires ?

• À déterminer la part d’une catégorie de dépenses dans le budget des ménages.

• À déterminer le reste à vivre.

• À calculer le taux des prélèvements libératoires.

Quel facteur contribue à augmenter le poids du logement dans le budget des ménages ?

• La baisse des taux d’intérêt sur les prêts immobiliers accordés aux ménages

• La baisse des dépenses que les ménages consacrent à l’alimentation

• L’augmentation des prix de l’immobilier